par Miyette
Tcb Pour une communication collective de la résistance et de l'émancipati...
TCB est un lieu d'échanges, de vie...
fluctuant en fonction de sa fréquentation
Des projets s'y montent, radiophoniques, par exemple, qui n'intéressent pas tout le monde non plus mais qui, pareil, prendraient d'autant plus d'intérêt avec une fréquentation plus importante.
Un laboratoire in-situ de la démocratie, pareil, même si c'est quand même magnifique quand on arrive à faire aboutir des projets collectifs, la plupart du temps ça se limite quand même au nombre de participant.e.s, un nombre qui reste faible dans un environnement formaté par le système capitaliste.
Un relai des informations des luttes, il est sans doute juste de dire que sans Tcb, on ne perdrait pas grand-chose, probablement, des flux existants.
Tcb reste un abri, la maison de celles et ceux qui sont actuellement désignés comme les commanditaires des méfaits des autres droites amalgamées aux opprimés, quand iels n'en peuvent plus des immondices qui se déversent de plus en plus sur l'ensemble de l'univers médiatique.
et ça ne suffit sans doute pas.
Tcb devrait pouvoir servir de base arrière, pour celles et ceux qui n'en ont pas, des info des luttes destinées à circuler sur les réseaux gafams, afin de ne pas enfermer sur ces appâts capitalistes leurs soutiens et lecteur.ice.s, en leur offrant leurs données en pâture. Mais pour ça il faut qu'il conserve des espaces éditoriaux lisibles, sur tout l'écran, comme on a actuellement sur les forum et sur les billets de blog, dont le lien génère une vignette (si possible illustrant chaque contenu) et une accroche.
En terme de luttes contre l'oppression et contre la destruction du vivant et de son habitat, en terme de résistances, d'émancipation, clairement aujourd'hui il reste les actions de blocage, et la communication des valeurs que ces luttes souhaitent voir partager. C'est à la fois tellement cliché et suranné de le dire, mais parmi ces valeurs, il y avait bien la liberté, la vraie, pas celle d'"entreprendre" des organes d'oppression pour produire et vendre sur la sueur de ses "employé.e.s" en échange de leur survie, la sororité (ben oui, faut pas déconner, les mecs, depuis le temps qu'on est contraintes à se demander dans quelle mesure on peut ou pas se compter dans une humanité solidaire, vous voudrez bien supporter 5mn de vous demander si ça menace vos attributs masculins, et spoil : non), et bien sûr, l'égalité, dont on se demande bien, à l'instar du collectif d'artistes qui ont complété la Marianne 2020, où et à quel moment cette notion a bien pu s'envoler.
Bref, sur les réseaux sociaux, clairement, et presque autant sur celui-ci que sur les autres, il n'y a qu'un seul combat qui peut se mener : celui de la communication, celui consistant faire intégrer ses foutues valeurs. qu'ils sont en train de criminaliser parce que malgré toute leur foutue supériorité, en nombre, en moyens financiers, en moyens médiatiques et de coercition, elles leur font toujours peur, et de plus en plus!
Or nous, mise à part quelques illustrateur.ices et humoristes de presse de talent, nous ne savons communiquer ces valeurs là que sur la base de pavés! les pavés dans la mare, ou sur les vitrines des banques, elles disent quelque chose, que nous nous comprenons généralement fort bien. Les pavés à lire, aussi, nous les comprenons généralement fort bien, dans notre entre-soi. Mais qu'en est-t'il du reste de l'humanité, et est-ce que l'objectif n'est pas que chacun et chacune puisse défendre ces valeurs, et donc continuer de les entendre, de les entendre comme évidente, comme plus évidentes et basiques que la propagande de droite et d'extrême droite?
Alors voilà à quoi ce réseau là pourrait servir, à penser les slogans qui véhiculeraient ces valeurs, non? Ça fait longtemps qu'on le sait, qu'on y pense, qu'on s'y essaye, et qu'on y parvient pas, faute de compétences clé dans ce domaine de la synthétisation, je pense, la preuve encore ici sur la longueur de ce texte...
Est-ce que Tcb pourrait avoir d'autres objectifs?
fluctuant en fonction de sa fréquentation
Des projets s'y montent, radiophoniques, par exemple, qui n'intéressent pas tout le monde non plus mais qui, pareil, prendraient d'autant plus d'intérêt avec une fréquentation plus importante.
Un laboratoire in-situ de la démocratie, pareil, même si c'est quand même magnifique quand on arrive à faire aboutir des projets collectifs, la plupart du temps ça se limite quand même au nombre de participant.e.s, un nombre qui reste faible dans un environnement formaté par le système capitaliste.
Un relai des informations des luttes, il est sans doute juste de dire que sans Tcb, on ne perdrait pas grand-chose, probablement, des flux existants.
Tcb reste un abri, la maison de celles et ceux qui sont actuellement désignés comme les commanditaires des méfaits des autres droites amalgamées aux opprimés, quand iels n'en peuvent plus des immondices qui se déversent de plus en plus sur l'ensemble de l'univers médiatique.
et ça ne suffit sans doute pas.
Tcb devrait pouvoir servir de base arrière, pour celles et ceux qui n'en ont pas, des info des luttes destinées à circuler sur les réseaux gafams, afin de ne pas enfermer sur ces appâts capitalistes leurs soutiens et lecteur.ice.s, en leur offrant leurs données en pâture. Mais pour ça il faut qu'il conserve des espaces éditoriaux lisibles, sur tout l'écran, comme on a actuellement sur les forum et sur les billets de blog, dont le lien génère une vignette (si possible illustrant chaque contenu) et une accroche.
En terme de luttes contre l'oppression et contre la destruction du vivant et de son habitat, en terme de résistances, d'émancipation, clairement aujourd'hui il reste les actions de blocage, et la communication des valeurs que ces luttes souhaitent voir partager. C'est à la fois tellement cliché et suranné de le dire, mais parmi ces valeurs, il y avait bien la liberté, la vraie, pas celle d'"entreprendre" des organes d'oppression pour produire et vendre sur la sueur de ses "employé.e.s" en échange de leur survie, la sororité (ben oui, faut pas déconner, les mecs, depuis le temps qu'on est contraintes à se demander dans quelle mesure on peut ou pas se compter dans une humanité solidaire, vous voudrez bien supporter 5mn de vous demander si ça menace vos attributs masculins, et spoil : non), et bien sûr, l'égalité, dont on se demande bien, à l'instar du collectif d'artistes qui ont complété la Marianne 2020, où et à quel moment cette notion a bien pu s'envoler.
Bref, sur les réseaux sociaux, clairement, et presque autant sur celui-ci que sur les autres, il n'y a qu'un seul combat qui peut se mener : celui de la communication, celui consistant faire intégrer ses foutues valeurs. qu'ils sont en train de criminaliser parce que malgré toute leur foutue supériorité, en nombre, en moyens financiers, en moyens médiatiques et de coercition, elles leur font toujours peur, et de plus en plus!
Or nous, mise à part quelques illustrateur.ices et humoristes de presse de talent, nous ne savons communiquer ces valeurs là que sur la base de pavés! les pavés dans la mare, ou sur les vitrines des banques, elles disent quelque chose, que nous nous comprenons généralement fort bien. Les pavés à lire, aussi, nous les comprenons généralement fort bien, dans notre entre-soi. Mais qu'en est-t'il du reste de l'humanité, et est-ce que l'objectif n'est pas que chacun et chacune puisse défendre ces valeurs, et donc continuer de les entendre, de les entendre comme évidente, comme plus évidentes et basiques que la propagande de droite et d'extrême droite?
Alors voilà à quoi ce réseau là pourrait servir, à penser les slogans qui véhiculeraient ces valeurs, non? Ça fait longtemps qu'on le sait, qu'on y pense, qu'on s'y essaye, et qu'on y parvient pas, faute de compétences clé dans ce domaine de la synthétisation, je pense, la preuve encore ici sur la longueur de ce texte...
Est-ce que Tcb pourrait avoir d'autres objectifs?
Français