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Les sondages nous sont fournis par des groupes de presse qui appartiennent à des milliardaires, qui les ont reçus d'instituts de sondage qui appartiennent à des milliardaires.
Nous savons donc qu'ils s...Les sondages nous sont fournis par des groupes de presse qui appartiennent à des milliardaires, qui les ont reçus d'instituts de sondage qui appartiennent à des milliardaires.
Nous savons donc qu'ils sont conçus et ajustés dans l'intérêt des ... milliardaires.
Nous savons qu'ils sont bidons et qu'ils ne reflètent rien du tout. Ils servent juste à orienter, dévier, le vote de ceux qui calculent.
Si vous tenez compte des sondages, pour que la gauche ait la moindre chance de succès, il faut une alliance Hamon, Mélenchon, donc, se donner au PS qui annonce déjà « on prend les mêmes et on recommence ».
Voire pire, aller vers Macron parce qu'il n'y a que lui qui aurait une chance.
Mais pourquoi, vindju, s'acharner à tenir compte de ces sondages quand on sait ce qu'ils valent ? Je ne vois que ça à gauche. Mais puisqu'on sait que ça ne vaut rien, quand va-t-on enfin tenir compte de ce savoir ?
Si vous tenez compte des sondages et voter « utile » au premier tour, ils auront rempli leur rôle et, au mieux, vous aurez la même chose que ce que vous avez aujourd'hui, du socialisme libéral sans complexe. Au mieux je perds, au pire, je perds beaucoup, mais dans les deux cas, je perds. C'est une stratégie où vous n'êtes que perdants.
Si vous oubliez ces sondages, vous pouvez voter avec votre coeur au premier tour, lire enfin les programmes pour ce qu'ils disent. Le seul risque, finalement, serait d'être vous même surpris. Et, au pire je perds beaucoup, au mieux, je gagne beaucoup. Voilà une stratégie qui laisse au moins une chance d'être gagnant.
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